Analyse du Discours

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Fiv France donne beaucoup d’arguments, dont le coût (moins qu’une FIV avec un meilleur taux de réussite), l’évolution de l’âge de la première grossesse, la “faisabilité technique” (vitrification est considérée comme fiable), et l’augmentation du don d’ovocytes.

Toutefois, Fiv France ne prend pas réellement position dans son discours mais se contente plutôt d’informer, de manière neutre en précisant que la loi française ne permet pas, à ce jour, de pratiquer l’autoconservation ovocytaire.

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Positionnement par rapport aux trois nœuds de la controverse 

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 RISQUES : Quels sont les risques liés à la technique et son utilisation ?

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La vitrification est une technique “fiable” pour conserver ovocytes et tissus gonadiques. 

L’autoconservation diminuerait le nombre de FIV et le recours aux dons.

Faire une vitrification des ovocytes dans l’urgence suite à la déclaration d’un cancer n’est pas souhaitable, ici le problème est résolu si la femme concernée l’a déjà effectué avant.

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FINANCEMENT : Qui finance, pour qui et sous quelles conditions ?

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Selon l’association, l’autoconservation des ovocytes serait un moindre coût comparé aux FIV (les FIV après 38 ans nécessitent de nombreux essais et des résultats plus “aléatoires”)

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PROJET FAMILIAL : Quel projet familial émerge ? 

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L'évolution de l’âge moyen de la grossesse en France illustre ce besoin de préservation de la fertilité. 

Le problème actuel du manque de donneuses en France pourrait être réduit par la proposition faite aux femmes de donner les ovocytes si le projet de grossesse est abandonné ou s’il reste des ovocytes inutilisés. 

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Retrouver la contribution de Fiv France aux Etats Généraux de la bioéthique. 

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Cartographie de l'acteur