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L'enquête
« Nous avons mené une enquête sociologique sur 6 mois portant sur la controverse de l’autoconservation ovocytaire que nous avons restituée sous le format d’un site internet public. » Voici comment nous présentons de manière synthétique notre travail d’enquête lorsque nous devons l’introduire. Maintenant, si nous entrons dans le détail, cette enquête s’est déroulée en plusieurs étapes étalées sur 6 mois.
Dans un premier temps, nous avons réalisé un dossier d’une trentaine de pages dont le but était de nous documenter au maximum sur le sujet et surtout de valider que l’autoconservation ovocytaire constituait bien un sujet de controverse d’actualité. Pour cette phase, notre protocole de recherche a surtout consisté à lire le plus de littérature grise accessible possible, ce qui nous a permis d’avoir une première approche des principaux arguments avancés par les acteurs s’intéressant à l’autoconservation ovocytaire.
Dans un second temps, nous avons cherché à entrer plus en profondeur dans notre controverse. Pour cela, comme notre dossier initial nous avait permis d’identifier un certain nombre d’acteurs, nous avons cherché de ce côté pour trouver des prises de positions écrites ou des rapports officiels qui nous ont amenés à recenser les principaux arguments donnés sur le sujet.
Dans un troisième temps et une fois cette étape réalisée, il nous fallait compléter les arguments identifiés via les rapports et via la littérature grise par ceux qui pouvaient être mentionnés dans la littérature scientifique, troisième strate de profondeur pour les arguments de cette controverse.
Enfin, pour éclairer les zones d’ombres restantes sur le sujet nous avons pris rendez-vous avec des acteurs qui nous semblaient absolument clefs pour traiter le sujet de l’autoconservation ovocytaire de manière exhaustive, dans le but de les interroger sur des points précis du sujet que nous avions identifiés.
Dans le cadre de notre enquête, nous avons interrogé les acteurs suivants :
Nathalie Besnault
Association Maia
Nous avons mené un entretien avec cet acteur afin d’approfondir les arguments des associations et leur donner une voix car elles sont peu présentes dans les rapports.
Sandra Blasiak
Union Nationale des Associations Familiales
et la Fédération nationale des associations familiales protestantes
Membre du Bureau de l’association, nous avons interrogé cet acteur pour mieux comprendre leurs arguments soulevés dans leur audition au CCNE car la plupart des arguments “contre” l’autoconservation de l’association soulevaient des problèmes peu abordés par les autres acteurs.
Une journaliste - Réalisatrice
Réalise un documentaire sur le sujet
Cet entretien avait pour mission de comprendre ses motivations et de trouver de nouvelles pistes de recherche.
Michael Grynberg
Gynécologue obstétricien
Il est un acteur très médiatisé et auteur de nombreux rapports scientifiques concernant la préservation de la fertilité. Ce gynécologue obstétricien, spécialisé en médecine de la reproductio,n nous a été en plus recommandé par l’association Maïa.
Avoir un entretien avec lui nous permettait de revenir sur les aspects techniques de la controverse, mais aussi de constater quels en étaient actuellement les points majeurs.
Eric Chenut
Groupe MGEN
A la fois administrateur de la Fédération nationale de la mutualité française (FNMF) et vice-président délégué de la MGEN. Il a contribué à la “mission d’information des présidents sur la révision de la loi relative à la bioéthique le Mardi 16 octobre 2018”.
Le but était, ici, d’approfondir les questions autour du financement tout en précisant le rôle de cet acteur dans les différentes arènes de notre controverse.
Jean-Louis Touraine
Député LREM et médecin
Chargé des rapports pour la révision des lois bioéthiques. Il a pu nous expliquer la démarche de l’Assemblée Nationale dans la perspective des révisions des lois de bio-éthique et défend un remboursement total de l’autoconservation. Cet acteur nous a été recommandé par M.Grynberg.
Jean-Philippe WOLF
Centre d'étude et de conservation des œufs et du sperme humains (CECOS)
Chef du service biologie de la reproduction et du Cecos de l’hôpital Cochin - AP-HP, Interroger Monsieur Wolf nous permettait de creuser le point de vue des CECOS concernant l’autoconservation des ovocytes et plus particulièrement sur une éventuelle réorganisation de la société si l’autoconservation ovocytaire est autorisée.
Nous insérons les retranscriptions des entretiens au fur et à mesure des retours et autorisations de mise en ligne des acteurs.Vous pouvez dès maintenant accéder à l’intégralité des entretiens avec Nathalie Besnault, Sandra Blasiak et Michael Grynberg sur leurs pages acteurs respectives ou en cliquant directement ici.
Par la suite, nous avons pris du recul afin de problématiser la controverse portant sur l’autoconservation ovocytaire pour en faire émerger les points de tension particuliers ou « nœuds » de la controverse, qui provoquent les désaccords entre acteur. La dernière phase de notre enquête — et la plus importante — a consisté à mettre en forme nos recherches en rédigeant le contenu du site internet sur lequel vous naviguez actuellement.
La littérature scientifique
Après avoir identifié les dates clés et les principaux acteurs de la controverse, nous avons plongé plus en profondeur dans la littérature qui existait déjà sur le sujet et nous avons tenté d’éplucher le plus méthodiquement possible les bases de données à notre disposition dans le but de faire émerger une dizaine d’articles qui nous paraîtrait incontournable pour comprendre et aborder notre controverse, à la lumière des rapports que nous avions lus et des prises de positions des acteurs.
Méta-analyse quantitative de la littérature disponible sur le sujet
En premier lieu, nous avons réalisé pour le protocole d’enquête une méta-analyse globale du sujet traité. Par méta-analyse, nous entendons une analyse globale, plutôt large et quantitative de la littérature existante sur les bases de données ouvertes telles que la plateforme de sources académiques internationales « ScienceDirect », le moteur de recherche spécialisé « Google Scholar » ainsi que les plateformes académiques françaises «cairn.info» et «OpenEdition». L’intérêt de ce travail était de tester les mots clefs les plus pertinents et de nous rendre compte de la quantité effectivement pertinente de littérature sur tous les résultats retournés par les bases de données.
Notre méta-analyse s’est déroulée en trois étapes :
Dans un premier temps, nous avons défini les mots-clefs à utiliser pour effectuer les recherches. Deux critères ont été importants : la thématique traitée par un mot clef et la langue du mot clef. Les mots-clés finalement retenus ont été les suivants :
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« autoconservation des ovocytes »
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« social egg freezing »
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« vitrification ovocytes risques »
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« social egg freezing ethics »
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« autoconservation ovocytes France »
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« loi bioéthique ovocytes ».
Dans un second temps, nous avons identifié les documents qui nous paraissaient pertinents sur le sujet, lorsque nous les parcourions rapidement. Nous avons ajouté à ces recherches les références que nous avions déjà en notre possession suite à nos recherches pour le premier dossier à rendre en décembre et à nos recherches sur les positions des acteurs dans les rapports.
Dans un dernier temps, nous avons défini un algorithme de classification, élaboré à l’aide de l’étude présentée en atelier par Alexandre, qui nous permettrait de tirer des enseignements quantitatifs de cette littérature parcourue.
Nous avons présenté les résultats de cette méta-analyse dans le tableau suivant :
Nous avons pu tirer les enseignements suivants de cette méta-analyse :
D’abord, ce tableau montre que le sujet de l’autoconservation ovocytaire a été abordé le plus souvent dans la littérature scientifique, produite dans sa grande majorité par des professionnels et des chercheurs dans le domaine de la médecine.
Ensuite, les disciplines qui reviennent régulièrement sont la gynécologie obstétrique, la médecine de reproduction, l’éthique médicale et la médecine légale. La gynécologie obstétrique et la médecine de la reproduction sont les disciplines les plus représentées dans les documents que nous avons retenus, la médecine de la reproduction étant la discipline présente dans tous nos documents sélectionnés.
Quelques noms ont émergé, notamment des représentants des disciplines émergentes décrites ci-dessus, et sont également apparus suite à la méta analyse :
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Pierre Boyer (SMBR, hôpital Saint-Joseph de Marseille)
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Claire Louria et Marcel-Louis Viallard (Laboratoire d’éthique médicale et médecine légale, Paris Descartes)
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Christel Mollard (Docteur en droit, juriste à l’Espace de Réflexion Éthique de la région Rhône-Alpes)
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Manon Vialle (Docteure en sociologie au Centre Norbert Elias, EHESS).
Cette première analyse nous a permis d’avoir un point de départ et de définir des repères essentiels pour la suite de notre travail. En effet, nous avions peur de nous lancer à corps perdu et sans repères dans l’océan bibliographique que représentent les bases de données, sans vraiment savoir quoi chercher exactement ni où chercher. Cela aurait été contre-productif. Grâce à cette analyse, nous avions identifié les repères suivants :
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Chercher prioritairement des articles dans la littérature scientifique : privilégier des bases de données comme Scopus et Plos.
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Se limiter à l’utilisation des mots clefs “autoconservation ovocytaire” et “egg freezing”, dans un souci de pertinence et de constance des résultats.
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Se focaliser tout particulièrement sur les articles dont les spécialités sont la gynécologie obstétrique et la médecine de reproduction.
-
Etre attentif aux noms d’auteurs vus dans la méta-analyse.
Analyse des tendances et des dates de publications
Avant de lire et de parcourir des articles pour sélectionner les plus pertinents en fonction des critères que nous avions faits émerger de la première partie, il nous restait encore deux questions à nous poser :
Les critères définis dans la premières parties sont-ils validés par une rapide méta-analyse globale des autres bases de données ?
Y a-t-il des dates où les publications sont plus nombreuses et si oui, y a-t-il un enseignement à en tirer pour la sélection des articles essentiels du sujet ?
Nous avons donc utilisé des bases de données comme Factiva, nous permettant de visualiser rapidement les dates de publications des articles mais également les principaux sujets traités et les acteurs concernés.
Résultats Factiva pour des requêtes en français :
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Mots clefs: “Autoconservation” OR “ovocyte” : 1510 résultats. (Fig.1)
-
Mots clefs: “Autoconservation” AND “ovocyte” : 26 résultats. (Fig. 2)
Dans les deux cas de recherches en français, un intérêt croissant pour le sujet se dessine au fil du temps. On observe en particulier 2 pics de publications : l’un en 2011, qui correspond à la première révision des lois de bioéthiques, et l’autre fin 2018 (l’année 2019 étant à peine entamée), qui s’explique également parce qu’une deuxième révision de cette loi est programmée cet été.
Pour illustrer le pic le plus élevé, celui de 2018, on retrouve un certain nombre d’articles traitant de la médecine de la reproduction et de l’infertilité, comme celui de Manon Vialle intitulé L'expérience des femmes quadragénaires en AMP : Les seuils de la temporalité procréative, de la fertilité et de l'infertilité en question.
Il n’y a quasiment aucun résultat avant 1998, ce qui nous paraît logique puisque la technique de vitrification ovocytaire n’a vu le jour qu’en 1999.
L’ajout de “AND” dans la requête initiale donne moins de résultats mais ils sont plus pertinents.
Les sujets récurrents identifiés par le moteur de recherche sont la santé, les questions éthiques et les informations politiques.
La journaliste Agnès Leclair écrit beaucoup d’articles sur le sujet, et les entreprises Apple et Facebook sont également très citées dans les articles de presse référencés par Factiva.
Pour la recherche en Français, les critères précédemment définis semblent pertinents. Ajouter le mot AND lors de la recherche permet de donner moins de résultats pertinents, il faudra le retenir par la suite. Concernant les dates de publications, les dates de 2011 et 2018 sont intéressantes, mais il y a des publications sur le sujet depuis 1998 jusqu’à aujourd’hui, nous pourrons donc trouver différents articles parus à différents moments pour illustrer l’historique de la controverse.
Résultats Factiva pour des requêtes en anglais :
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Mots clefs : “Oocyte” and “cryopreservation” : 2620 résultats. (Fig. 3)
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Mots clefs : “Egg” and “freezing” : 25230 résultats. (Fig. 4)
Les deux graphiques montrent bien une augmentation du nombre de publications à partir de 1998, mais la courbe et les pics de publications sont un peu différents parce que de nombreux pays ont déjà légalisé l’autoconservation ovocytaire aujourd’hui. Ces graphiques sont donc moins évidents à interpréter que ceux des recherches faites en français.
Pour illustrer le haut de la vague qui se situe aux alentours de 2014 d’après la figure 1 ci-dessus, on retrouve beaucoup d’études espagnoles / belges / américaines sur la préservation de la fertilité et les enjeux sociétaux /éthiques / démographiques, notamment en Europe, comme l’illustre l’article de Stoop, Cobo, et Silber, Fertility preservation for age-related fertility decline.
Il y a beaucoup plus de résultats en français qu’en anglais, mais ils sont néanmoins beaucoup moins pertinents : en effet, si “egg freezing” est le meilleur mot clef pour désigner l’autoconservation ovocytaire mené par vitrification, il possède le désavantage de désigner également des “œufs frits” en langue anglaise. C’est pourquoi une bonne partie de nos requêtes anglaises ne sont pas pertinentes.
Les pays les plus mentionnés dans ces publications sont situés en Amérique du Nord : les pays européens et la France ne sont quasiment pas mentionnés. En revanche, l’Union Européenne et ses institutions sont très présentes et c’est même les acteurs les plus mentionnés dans les articles de presse.
La recherche en anglais semble moins pertinente que la recherche en français pour une raison majeure : comme les législations sur l’autoconservation ovocytaire entre les pays, voire les continents, sont très différentes les unes des autres, nous avons choisi d’étudier la controverse dans un pays où elle est particulièrement virulente actuellement : la France. Ce choix implique directement une pertinence moins forte des publications générales sur l’autoconservation ovocytaire en langue anglaise, puisque des pays comme les Etats-Unis ont déjà légalement traité la question et légalisé la pratique depuis 2003. Néanmoins, il ne faut pas complètement exclure la langue anglaise de nos recherches, il faut juste être beaucoup plus attentif aux résultats ainsi qu’aux dates des publications.
Grâce à cette analyse axée sur la presse en général, nous avons pu affiner et confirmer nos critères, définis dans la méta-analyse, et réfléchir aux dates de publications pertinentes pour notre sujet :
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Chercher prioritairement des articles dans la littérature scientifique française / dans la littérature scientifique étrangère mais traitant du cas français : privilégier des bases de données comme Scopus et Plos, bien regarder la date et le résumé des articles en anglais.
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Se limiter à l’utilisation des mots clefs “autoconservation ovocytaire” et “egg freezing”, dans un souci de pertinence et de constance des résultats : utiliser la requête AND.
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Se focaliser tout particulièrement sur les articles dont les spécialités sont la gynécologie obstétrique et la médecine de reproduction.
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Etre attentif aux noms d’auteurs vu dans la méta-analyse.
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Etre attentif aux articles publiés entre 1999 et aujourd’hui, avec une attention particulière sur les années 2011 et 2018.
Ovocyteam
BEZIER Juliette
Enquêtrice
Diplômée de l’école d’ingénieur Supoptique avant de venir à Sciences Po, Juliette était très efficace dans les entretiens avec les acteurs et nous a une nouvelle fois démontré ses talents d’entrepreneuse à travers son organisation rigoureuse et son sens du travail d’équipe. Plus tard, elle souhaite allier ses compétences pour faire de la communication corporate au sein d’une entreprise technique.
GAVELLE Fanny
Scénographe
Egalement titulaire d’une licence de Gestion de l’Université Paris Dauphine, c’est à Fanny que nous devons la construction de l’intégralité de notre site Internet ! Affirmée, Fanny n’a pas peur de dire ce qu’elle pense et quand il s’agit de rigueur et d’organisation, c’est la femme de la situation.
HENRION Jane
Scénographe
Entrée à Sciences Po suite à l’obtention de son diplôme en Design et Stratégie de Communication de l’école Estienne, nous devons à Jane tout ce qui est design et images sur notre site ! Créative et appliquée, Jane réalise toujours des créations magnifiques alors si vous recherchez une directrice artistique de talent, vous savez où la trouver.
KOLEVA Nancy
Enquêtrice
Précédemment étudiante sur le campus de l’Europe Centrale et Orientale de Sciences Po Paris basé à Dijon, Nancy est Bulgare et elle apporte ainsi un regard essentiel à notre travail grâce à son recul et sa vision du monde ! Passionnée de journalisme, Nancy rédige de nombreux articles et possède un blog, n’hésitez pas à aller y faire un tour !
PIGANIOL Ninon
Enquêtrice
Etudiante au collège universitaire sur le campus franco-allemand de Sciences Po Paris situé à Nancy, Ninon posait toujours des questions très pertinentes aux acteurs en arrivant à rendre sa pensée claire lorsqu’elle devait parler de notre sujet. Toujours positive, Ninon a en plus un talent caché : c’est une violoniste hors paire passionnée de musique !
Remerciements
Nous souhaitons remercier chaleureusement nos professeurs qui nous ont accompagnées tout au long de l’année, et tout particulièrement Alexandre Violle pour tout ce qu’il a fait pour nous ! A l’écoute, réactif, impliqué, bienveillant, clair dans ses explications et concis, il avait toutes les qualités pour nous accompagner comme il le fallait et nous lui devons beaucoup. Merci également à Marianne Le Ba, Robin De Mourat et Vincent Casanova pour leur accompagnement et leurs conseils.
Un grand merci à tous les acteurs qui ont accepté d’échanger avec nous et sans qui ce travail aurait été bien moins abouti et bien moins complet !